DFE-074 Ma fille en mange. Miiro Momosaki - Momosaki Miiro

«Oublie ta mère qui t'a abandonné.» Tout en disant cela, papa me couvre et secoue ses hanches avec frénésie. Il y a deux ans, lorsque papa a fait faillite et était accablé de dettes importantes, maman a décidé qu'elle ne pouvait pas supporter ce genre de vie et a quitté la maison. Papa détestait maman et m'a interdit de la voir. Ma vie ne s'est jamais améliorée et quand j'ai finalement atteint mes limites, mon père m'a demandé de vendre mon corps. Il est naturel que les familles s’entraident. «Papa m'apprendra la première fois», s'est-il imposé à moi, et étant un lâche, je n'ai eu d'autre choix que d'obéir en pleurant. Lorsque les clients masculins jouaient avec elle et se plaignaient : « Je n'en veux plus », ils la serraient dans leurs bras et lui disaient : « Vous avez fait du bon travail », et ils la baisaient à nouveau. À l'école, elle n'a pas le droit de participer aux activités du club ni de se faire des amis, et elle est obligée de s'occuper quotidiennement de son père et de ses clients. Durant ces journées infernales, du pus noir gonfle en moi. Peut-être qu'un jour ce sera plus facile s'il se rompt et disparaît. À ce moment-là, j'ai reçu un courriel de ma mère me demandant : « Pourquoi ne nous enfuyons-nous pas et ne vivons-nous pas ensemble ? » Même s'il ne s'est pas excusé d'avoir abandonné sa famille, c'était quand même une lueur d'espoir pour moi. Aujourd'hui aussi, les mains du vieil homme rampent sur tout mon corps. La nuit dont je ne voulais pas recommence. Cependant, si vous persévérez maintenant, vous viendrez sûrement un jour. Lorsque la jeune fille, qui avait sacrifié son cœur pour le bien de sa famille et l'avait simplement enduré, a succombé à la torture incessante de l'homme, les halètements et les sanglots ont débordé. L'histoire d'une fille triste.